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dimanche 13 décembre 2020
Libéralisme et républicanisme classique
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mercredi 15 novembre 2017
Propos, pensées et sentences mêlées (1)
« You'll have to think harder than you've ever done before, because
you will be on your own -relying on your own judgment and the logic of
the arguments you hear or consider, rejecting all authorities and all
bromides, and taking nothing on faith. »
-Ayn Rand.
-Ayn Rand.
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samedi 8 avril 2017
La Raison de Rome. Naissance de l’esprit critique à la fin de la République, de Claudia Moatti
On présente volontiers la civilisation romaine de l’Antiquité
comme une civilisation martiale, païenne (le dieu de la guerre, Mars, y fut
vénéré et loué sans commune mesure avec son équivalent grec, Arès), militarisme auquel devait contribuer même une partie de sa philosophie ; une
civilisation fortement hiérarchique, qui inventa l’autorité (incarné par l’institution
sénatoriale) comme principe de gouvernement (cf Hannah Arendt, « Qu’est-ce
que l’autorité ? » in La Crise
de la Culture), là où les Grecs inventèrent la démocratie et la remise en
question de la tradition au profit de l’interrogation illimitée (ce que
Cornelius Castoriadis a appelé le principe d’autonomie).
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vendredi 21 août 2015
La République, de Cicéron
« Celui
qui préside aux destinées de la République doit avoir pour but le bonheur de
ses concitoyens. Qu'il travaille constamment à donner à l'État puissance,
richesse, attitude glorieuse, sans s'écarter des voies de l'honneur et de la
vertu. »
-Cicéron, Ad
Atticum, VIII, 11.
Lu De la République, de Cicéron (en latin De Republica). Un ouvrage admirable,
considéré dès l’Antiquité comme le chef d’œuvre de Cicéron.
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vendredi 17 juillet 2015
La République, de Platon
Lu La République, de Platon. Incontestablement une œuvre majeure, ne serait-ce
que par son ampleur (dix livres, pas un de moins) et la variété des thèmes
traités. Si le dialogue s’amorce par la tentative de Socrate de faire ressortir
la fausseté de l’équivalence posée par Thrasymaque entre l’injuste et
l’avantageux, ce n’est que vers la fin du traité, lorsque Platon [R1] souligne
le caractère néfaste de la tyrannie, que l’objectif est atteint. Entre temps,
le lecteur aura eu le temps de découvrir une description du régime idéal, une
classification des régimes politiques en fonction des types de caractères, des
réflexions sur la philosophie, les sciences et les arts, une définition de la
dialectique, des arguments en faveur de l’immortalité de l’âme et une quête
permanente de « la vie la meilleure ».
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samedi 9 mai 2015
Le Fil d’Ariane
I :
« En un
monde de mouvements amples et généraux, la questions du possible s'impose à
nous, et surtout celle de la part que peut revendiquer une volonté libre.
S'emparer, devant cette question, d'un point sûr, ou même d'une conviction
suffisamment fondée, c'est se rendre capable de rendre des arrêts aux
conséquences multiples. »
-Ernst Jünger, L'État
universel (1960).
« Ce n’est pas
sans y avoir mûrement réfléchi que je me suis déterminé à écrire […]. Je ne me
dissimule point ce qu’il y a de fâcheux dans ma position : elle ne doit
m’attirer les sympathies vives de personne. »
-Alexis de Tocqueville, Lettre à Kergolay, janvier 1831.
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